Nos analyses révèlent que la majorité des cartes volées sont accompagnées d’au moins quelques informations confidentielles, telles que l’adresse, le numéro de téléphone ou l’adresse email. Comme il n’est pas possible d’obtenir des informations personnelles en utilisant des attaques par force brute, nous pouvons conclure que les données associées ont été obtenues par d’autres moyens, tels que des piratages sophistiqués ou des violations de données.

Selon leurs observations, les chercheurs de NordVPN ont calculé les risques posés par le vol de cartes de crédit et les cyberattaques connexes pour les résidents de 98 pays. Malte, l’Australie et la Nouvelle-Zélande arrivent en tête de cet indice de risque, suivis de près par les États-Unis en 5ème position.

En revanche, la Russie a obtenu le score de risque le plus bas et la Chine s’est classée à l’avant-dernière place. Ces résultats semblent confirmer les théories dominantes concernant la répartition des activités de piratage à grande échelle et le ciblage délibéré des pays anglo-européens.